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ATLANTIS CHRONICLES : Interview d’Alex et Jérôme

Alex, ainsi que Jérôme, guitaristes au sein d’ATLANTIS CHRONICLES, nous parlent de la conception de l’album “Ten miles underwater”, de leurs inspirations mais également du second album à venir ainsi que de leurs projets musicaux.

Comment vas-tu et comment va ATLANTIS CHRONICLES ?

Ca va plutôt bien ! On est sur la fin de la promo de notre premier album et on en est plutôt contents ! On a fait beaucoup plus de chemin qu’on aurait pu l’imaginer !

Parlons un peu de ton introduction à la musique, comment es-tu tombé dedans ?

Alex : Tout a commencé avec les jeux vidéos. Quand j’étais petit j’y jouais beaucoup. J’étais aussi un grand fan des musiques qui les illustraient. Il m’arrivait même d’aller dans les menus d’options juste pour y écouter les musiques. C’est vraiment ce qui m’a éveillé à la musique. Après ma grande sœur m’a fait découvrir le rock puis j’ai passé pas mal de temps à découvrir des artistes sur MTV Germany. Et enfin je me suis lancé dans le punk rock, puis le métal. A partir de là ça a été une descente sans fond vers le metal extrême.

Jérôme : De mon côté ça s’est fait en deux temps. En premier lieu, la musique est arrivée assez discrètement. Avec mon voisin de l’époque on était en mode Skateboard/Bob Marley/Coca, j’avais 12 ans. Puis progressivement j’ai écouté plus de musique et je suis naturellement passé du skate à la guitare. Sur ma dernière board y’avais une flying V verte fluo.

Quelles étaient tes inspirations à l’époque, que ce soit des groupes ou des artistes ? Quels ont été vos albums coups de cœur ? 

Alex : J’avais 16/17ans, donc beaucoup de Néo metal et de punk et autres Slipknot, Garbage, No Doubt et même du Linkin Park. The Offspring a été un groupe déclencheur pour moi. C’est grâce à ce groupe que j’ai réussi à apprécier le son des guitares saturées et c’est ce qui m’a d’ailleurs motivé. Quand j’ai vu une guitare électrique pour la 1 ère fois à l’école de musique, je me suis dit “C’est avec ça qu’on arrive à faire du son saturé ?”.

Jérôme : Vers 15 ans j’ai découvert The Offspring (ixnay et smash) et Nirvana (in utero et bleach), puis en rencontrant Alex et Sydney ça s’est un peu “extrêmisé” si on peut dire. J’ai beaucoup écouté Death et Quo Vadis. Rigolo d’ailleurs de me retrouver avec Forest Lapointe, ex-Quo Vadis maintenant dans Beyond Creation, sur toute la tournée Japonaise qu’on a fait en décembre 2013. Une autre grosse influence de l’époque ça a été “Countdown to extinction” de Megadeth avec le génie mélodique de Marty Friedman.

Te souviens-tu du premier concert que tu aies vu ?

C’était The Offspring à Bercy ! J’étais comment dire… surpris. J’étais en place assise et donc loin de la scène. Le premier enseignement que j’en ai tiré était de ne plus jamais prendre de place assise dans un concert de rock !

D’un autre côté, as-tu des souvenirs de ton premier concert en tant que musicien ? Tout s’est passé comme prévu ?

Ahah c’était cool. C’était donc avec Abyss (Ancien nom d’Atlantis Chronicles) lors d’une fête de la musique. A l’époque j’étais guitariste chanteur dans le groupe et c’était donc la première fois que je parlais à un public… Je vous laisse imaginer mon état d’anxiété.

Comment as-tu appris à jouer de la guitare ?

Tu vas trouver ça drôle mais en fait à la base je voulais jouer des percussions “à la Slipknot“. Je trouvais ça tellement génial de taper comme un malade et de placer des backing vocal par-ci par-là. J’ai donc commencé à chercher des boutiques d’instruments de musique. Je me suis trompé et je suis entré dans une école de musique où il y avait du piano et une toute petite pièce vitrée au fond où un gars donnait des cours de guitare.

J’ai demandé à la prof de piano où je pourrais trouver des percus, elle m’a donné une adresse mais… En voyant le prof de guitare dans sa petite pièce et en voyant pour la 1ère fois une guitare électrique de mes yeux j’ai demandé quelques infos sur les cours de guitare. Elle m’a alors présenté Ronan Jacques (ex-Killers), l’homme qui a été mon prof de guitare pendant 5 ans (au revoir les percus !). J’ai fait un cours d’essai puis j’ai commencé à apprendre à jouer dans cette école.

Quel a été ton premier modèle de guitare ?

C’était “Déborah” (oui je donne des noms à mes guitares…) une Ibanez RG-quelque chose… une entrée de gamme. J’ai très vite basculé pour “Nes” une Lag AK 100.

Peux-tu nous faire partager quelques informations au sujet de ton introduction au sein du groupe ?

Je suis l’un des membres fondateur avec Sydney (le batteur). On a commencé la musique en même temps et dans la même école. Nous sommes comme des frères depuis l’âge de 7 ans.

Quand on a créé le groupe on voulait un thème fort. Du haut de nos 17 ans nous voyions le metal comme quelque chose d’épique, de grandiose, de puissant mais nous ne voulions pas associer ça à la mort. Alors on a pensé à l’eau, indomptable, magnifique, l’origine de la vie sur Terre. L’association parfaite pour nous.

Les compositions de “Ten miles underwater” varient entre rythmique très carré et lead plus aérien et chaud, est-ce que tu peux nous donner tes façons de composer ? J’ai pu lire que tu composais la majorité des titres de l’album, mais est-ce vrai pour les deux guitares ?

Je tiens à préciser que j’écris sur Guitar Pro (un logiciel de tablature midi pour ceux qui ne connaissent pas) et que c’est sous cette forme que les autres membres découvrent le premier jet des morceaux. Généralement je trouve un riff, une ambiance globale, et je brode un morceau avec ce riff comme point de départ. Je sais généralement s’il servira de couplet, de pré-refrain ou de refrain.

J’apporte au groupe un squelette de morceau avec 2 guitares, j’ai généralement une batterie en tête mais je ne l’écris pas pour laisser la place à la créativité de Syd. Une fois la batterie écrite, le ton est donné. Je peaufine et modifie jusqu’à ce que tout le monde soit d’accord, puis chacun apporte ses idées afin d’enrichir le morceau.

Pour les soli je laisse volontairement place nette et Jérôme et moi voyons qui écrira dessus.

Quel est ton matériel utilisé pour les concerts et pour le studio ?

Pour Alex : J’ai pu voir que tu as été endorsé par Schecter en 2012, est-ce toujours le cas ? Tu n’apparais pas sur le site de Schecter.

Pour le live je suis tombé amoureux de “Snes” une Schecter Hellraiser Extreme qui est ma toute dernière acquisition d’endorsé. Je garde ma Schecter SLS “Lola” en spare.

J’ai une tête d’amplis Engl Power ball que je combine à une Tube Screamer, un baffle Engl 2×12, une pédale d’accordage Korg, un delay Eventide Time Factor.

J’ai en vue en ce moment le Line Selector de chez Boss et le noise gate Decimator de chez ISP.

Je suis endorsé par Schecter, Ernie Ball, Gruv Gear, et Positive Grid. Jérôme est endorsé par Vigier, Ernie Ball et tout récemment par Lace Pickups. Tu as l’exclu ça n’a pas encore été annoncé officiellement !

Effectivement je n’apparais plus sur le site de Schecter qui a été récemment mis à jour, la catégorie “Artist International” sera de nouveau en ligne dans quelques temps.

Utilises-tu un accordage standard ?

On a toujours été accordés un ton en dessous de l’accordage standard, sans drop, et cela depuis notre 1ère démo : D G C F A D / Ré Sol Do Fa La Ré.
C’est un accordage assez haut comparé à tout ce qui se fait dernièrement. Mais je trouve ça parfaitement adapté au style développé dans Atlantis Chronicles. Je ne te cache pas que j’apprécie qu’on puisse encore faire vibrer une salle avec un accordage aussi haut, en allant un peu à contre courant de ce qui se démocratise de plus en plus (accordage bas, guitare 7 et 8 cordes). On s’est évidemment déjà demandés si on devait passer sur 7 cordes ou sur un accordage plus bas. J’ai essayé par curiosité mais ce n’est vraiment pas mon truc. Ce n’est nullement qualitatif mais vraiment une histoire de goût !
Pour Atlantis Chronicles je préfère me concentrer sur des sonorités/feeling/couleurs musicales et enrichir les riffs que changer de registre avec plus de cordes. Je ne pense pas que la lourdeur d’un riff est intrinsèquement liée à l’accordage. Je ne dis pas que je ne jouerais jamais sur 7 cordes ou sur un accordage différent (jamais dire jamais!), mais pour le moment c’est ce qui convient le mieux au groupe.

Quels sont selon toi les exercices standards pour t’échauffer ? D’ailleurs avez-vous déjà été sujet à des tendinites ? 

Par le passé Jérôme et moi en avons fait les frais mais jamais jusqu’à la tendinite. On s’échauffe en jouant les morceaux et en faisant des chromatismes de plus en plus vite dans les backstages.

Quels conseils pourrais-tu donner à un nouveau guitariste et pour une personne ayant plus d’expérience ?

Prendre son temps et de jouer des morceaux toujours un peu au-dessus de son niveau afin de progresser, découvrir de nouvelles choses mais surtout en abaissant le tempo. C’est la base !

Combien de temps joues-tu par semaine ?

Ça dépend vraiment des périodes et de la vie. En ce moment je joue 1 h par jour.

As-tu déjà pensé, ou été approché pour faire une guitare signature ?

Oui j’y ai pensé j’ai même eu l’occasion en fait… mais c’était avant que je sois endorsé et je voulais vraiment jouer sur Schecter. Une fidélité dont me voilà récompensé car c’est en partie de là que vient mon endorsement. Mon contact artist-relation est vraiment très humain et je ne regrette rien.

Es-tu actif au sein d’une autre formation ?

Alors c’est la 1ère fois que j’en parle publiquement en fait, mais je prépare 2 autres projets.

Le premier est en fin de pré-production et s’appelle pour l’instant “People Eat People” du Post-Rock avec des accents metal. Le deuxième est orienté Nintendo Core, sans nom pour le moment.

Vous (Alex et Jérôme) semblez jouer d’une manière très différente, est-ce vous pouvez dire que vous vous complétez en quelque sort ?

C’est vrai que notre jeu est différent. Alors que je suis plus dans la mécanique (longues parties de sweeping, tapping) on va plus retrouver Jérôme sur de la note tirée, bends et des petits sweeping rapides. Mais là où on se complète le plus c’est sur la composition : il est arrivé plusieurs fois que je compose une rythmique avec certaines couleurs musicales en laissant place nette pour que Jérôme y écrive un lead. Jérôme va carrément y modifier l’ambiance générale, sans changer une seule note de la rythmique. Ça ouvre des portes musicales totalement différentes, j’adore autant le rendu final que la surprise à la première écoute ! On en retrouve quelques-uns comme ça sur le premier album.

Quel regard as-tu sur le dernier album, une année après la sortie de “Ten miles underwater” ? As-tu quelques regrets ? A ce sujet, combien d’exemplaires avez-vous vendus ?

Je suis super content, jamais j’aurais imaginé jouer à l’autre bout du monde avec cet album. J’ai été au Japon, le pays qui a bercé mon enfance musicale en faisant ce que j’aime le plus au monde : de la musique.

On a vendu un peu plus de 800 albums avec les derniers chiffres du Japon. On fait un style de musique qui est très piraté donc c’est correct pour du metal extrême qui fait tout de même partie de la scène underground. Je n’ai rien contre le piratage personnellement, à une époque j’étais moi même hors la loi ! Mais maintenant je n’accède à la musique que par des moyens légaux. Le piratage permet à tellement d’artistes d’être découverts, quelque part c’est un mal pour un bien. Je suis convaincu que les 3/4 des gens qui nous écoutent ont découvert notre album par ce biais. On part du principe que les gens qui achètent ce qu’ils ont aimé télécharger continuent de faire vivre la scène.

Quels ont été les retours de ce premier album ? L’album a été plutôt apprécié, ce dernier vous permet-il d’élaborer des projets de plus grande importance pour la suite ?

Les retours ont été très bons dès les premiers morceaux postés sur le net. Et vu le nombre de concerts qu’on a pu donner ensuite, les interviews, les chroniques élogieuses, je peux te dire qu’on est très flattés et que ça nous met une petite pression pour faire encore mieux sur le prochain album hahah ! En tout cas ça a été bien au-delà de ce que j’attendais.

On fait notre max pour frapper encore plus fort avec le prochain. Ça devrait logiquement nous amener plus loin.

Les guitares de “Ten miles underwater” ont été enregistrées chez vous, peux-tu nous donner des informations concernant le déroulement de l’enregistrement ainsi que le matériel utilisé ?

Sydney les a enregistrées à l’aide d’une FireFace 400, d’une DI Avalon U5 et d’un pédalier simulateur d’ampli Boss. C’est Syd qui a été le chef de chantier de cet album (je dirais même qu’il est le chef de chantier du groupe haha). Nous avons enregistré simultanément 2 pistes : La sortie de la DI et la sortie du pédalier (linké à la sortie de la DI). Bien sûr nous n’écoutions que la sortie du pédalier (sinon pas de disto) mais seules les pistes DI ont servi pour l’album.

Depuis les mœurs ont évolué et tout se fait en plug-in maintenant. Le prochain album se fera dans les mêmes conditions mais le pédalier en moins.

J’ai pu lire que vous avez échangé des pistes sur internet avec Josh du Dreadcore Studio. Comment s’est passé le reamping, peux-tu nous expliquer ? Quel a été le processus ?

Le reamping est une technique studio qui se répand de plus en plus. Il suffit d’enregistrer chez toi tes guitares et basses avec ce chemin : guitare > DI > carte son. Tu te retrouves donc avec un son pur sans distorsion ni aucun effet. Sur ta piste tu appliques un plug-in audio de distorsion, effet appliqué en temps réel et qui ne va donc pas altérer le fichier audio.

Après il suffit de consolider et exporter la piste DI puis l’envoyer à un studio qui va faire le procédé inverse : carte son avec ton fichier audio > DI (boitier de reamp) > tête d’ampli > micro > carte son. Cette opération est assez drôle car il suffit de lancer la lecture du fichier audio pour voir ta tête d’ampli jouer toute seule avec ton jeu, tes prises, ton feeling.

Tout ceci permet :

1) économiser une dizaine de jours de prise en studio contre une seule journée de réamping

2) pouvoir changer le son de guitare à n’importe quelle phase du mixage

3) profiter du matériel, de l’acoustique et des compétences du studio qui réalise le mix

On n’arrête pas le progrès !

D’ailleurs pourquoi avec choisi le Dreadcore Studio ? Ne pensiez-vous pas qu’il était possible de l’enregistrer en France ?

On adorait le son de “Invade” de Within The Ruins. On ne voulait pas quelque chose d’aussi aseptisé mais on savait que ce son aurait une forte identité et pas mal de couilles. Tous les albums que Josh a mixé ont leur “petit truc” et on avait hâte de voir ce que ça allait donner avec notre musique.

Initialement on devait le faire mixer au Drudenhaus Studio (où on a enregistré les batteries) mais un contre temps ne nous a pas permis de mixer l’album là-bas. Le Drudenhaus était, à notre gout, le seul studio français abordable et adapté à notre style. Donc, si on voulait se placer sur le marché du metal et jouer des coudes avec les grands il fallait taper chez les ricains.

Comme discuté auparavant, le dernier album fait ressortir un death technique relativement mélodique qui n’est pas facile à jouer. Quel est le morceau qui vous a donné le plus de fil à retordre ?

Le morceau qui nous a donné le plus de mal “guitaristiquement” est Echoes Of Silence. Un condensé de toutes les techniques utilisées sur l’album. D’ailleurs c’est pour ça qu’on a commencé la promo de l’album avec ce morceau, il résume vraiment bien l’ensemble de “Ten Miles Underwater“.

Même si le sujet de l’album est quelque peu unique, le sujet de l’Atlantide a déjà été traité par quelques autres formations, comme “Orama” de ON THORNS I LAY, ou encore par les anglais de BAL SAGOTH avec l’album “Atlantis Ascendant”. Avez-vous été quelques peu inspirés par leurs travaux lors de l’écriture musical de “Ten miles underwater” ?

Absolument pas. A dire vrai, je ne connais aucune de ces références. On s’est inspirés de ce qui nous fascinait en travaillant les couleurs musicales qui nous inspiraient : à la fois l’immensité et la promiscuité des profondeurs abyssales. Ensuite on a mêlé toutes ces idées au concept album : la descente et le premier contact avec les grandes profondeurs sous-marines dans la peau de William Beebe.

En écoutant ce dernier album, on se rend compte que vous avez également mis en avant une certaine notion de symphonie. Est-ce que nous pouvons croire qu’un futur album serait plus symphonique, à l’instar de BAL SAGOTH par exemple ?

Peut-être pas “symphonique”, mais nous travaillons un arrangement plus poussé pour le deuxième album. Ça sera plus épique que le premier et à la fois plus moderne !

D’où une autre question, avez-vous déjà commencé à penser à un prochain album ?

On est en plein dedans, tout est composé, on modifie par-ci par-là, on pré-prod, on écrit les derniers soli et on commence à bosser les petites surprises. On ne peut pas en dire plus pour le moment mais les fans de “Ten Miles Underwater” seront sans doute ravis :).

Quels sont les plans pour ATLANTIS CHRONICLES en 2014 ?

Nous avons bon espoir de pouvoir enregistrer le deuxième album avant la fin de l’année. Mais il ne faut pas se précipiter alors nous verrons ce qui est possible de faire. Parallèlement nous continuons la tournée “Ten Miles Underwater” avec encore une poignée de dates à annoncer pour 2015.

Vous êtes relativement actifs avec des tournées cette année. Avec quels groupes aimeriez-vous partir en tournée ?

J’aimerais bien partir avec BTBAM, The Faceless, Protest The Hero… En gros les groupes qui nous inspirent et qu’on admire bien évidemment !

Peut-on espérer vous voir dans un festival cette année ?

Nous avons joué pour la première fois en Angleterre et sur le UK Tech Fest qui plus est ! Aux côtés de No Consequence, The Haarp Machine, Gorod, Vildhjarta, The Ocean, Sikth, Monuments, Aliases… en août, nous avons eu le superbe Festival des Arts Bourrins en France, et très prochainement le Hell’oween Fest le 31 octobre.

As-tu un dernier mot pour les lecteurs de Guitariste-Metal.fr ?

Pour finir je souhaiterai conseiller aux lecteurs, qui écoutent et apprécient Atlantis Chronicles, une poignée d’albums qui ont vraiment marqué ma vie, ma façon d’écouter, d’apprécier et de composer la musique :
Mastodon : Leviathan
The Human Abstract : Nocturne
Protest The Hero : Fortress
Wretched : Beyond The Gate
Sarah Slean : Day One

Si vous écoutez de la musique, continuez à partager ce que vous aimez. Si vous jouez d’un instrument, continuez de le faire avec votre cœur. Ça parait con dit comme ça mais je le pense vraiment ! Essayez de voir toujours le bon coté des choses, ça s’applique à la musique comme à la vie.

Merci à Alex ainsi qu’à Jérôme d’ATLANTIS CHRONICLES d’avoir pris le temps de répondre à notre interview.

Je vous recommande également de lire la très bonne review de leur album chroniqué par Velvet Kevorkian sur VS

Crédit photo : Guillaume Martins  https://www.flickr.com/photos/martinsphotographer/

ATLANTIS CHRONICLES

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Silenius

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  • Un groupe méritant que j'ai découvert l'an dernier par l’intermédiaire d'un pote.
    Leur instrumental "William Beebe" est envoutante... et bien sûr l'excellent "Thousands Carybdea"...gros hit!!!

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Silenius

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