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NIGHT IN GALES, GLORYFUL : Interview de Jens Basten

Jens Basten, fondateur de Night In Gales en tant que guitariste, nous parle de la création du groupe et de son actualité avec le prochain album “Ashes and Ends”. Il nous parle également de son autre groupe, Gloryful.

 

Salut Jens. Comment vas-tu et comment va Night In Gales ?

Je vais bien merci, même si je dois passer toute la semaine dans un hôtel à 300 km de ma maison, à cause de mon travail. Mais ce soir j’ai trouvé du temps pour répondre à tes questions très intéressantes pour Guitariste-Metal.fr. J’ai une bière fraiche donc je vais bien ! Concernant Night In Gales le groupe ne va pas si mal.

Parlons un peu de ton introduction à la musique, comment es-tu tombé dedans ?

Mon grand frère, Franck, également guitariste dans Night In Gales, m’a montré toutes les bonnes choses très tôt dans ma vie. J’avais environ 9 ans quand j’ai porté mes premiers patchs GN’R et Iron Maiden sur ma veste en jean.

Quelles étaient tes inspirations à l’époque et quelles sont-elles aujourd’hui ?

Mes premiers pas en tant que compositeur dans mes premiers projets ont été influencés par les premiers groupes de death metal du début des années 90, comme Morbid Angel, Paradise Lost, Grave et Pestilence. La scène de death mélo commençant à venir et j’ai alors écouté tout ce que je pouvais qui était connoté comme étant mélodique ayant du death et du heavy. Mais en fait les premiers vrais contacts furent lors des concerts de groupes tel que Helloween, Manowar, Anthrax, Maiden, W.A.S.P., GN´R, Warlock, Motley Crue, Twisted Sister, Cinderella et Metallica. Ces groupes ont vraiment eu une très grande influence sur moi, tout comme la pop des années 80, tu sais Mickael Jackson par exemple ! Je ne pourrais jamais oublier ça !

Te souviens-tu du premier concert que tu aies vu ? D’un autre côté, as-tu des souvenirs par rapport à ton premier concert avec ton groupe ? Est-ce que tout s’est passé comme voulu ?

Oui, je me souviens de mon premier concert ! C’était avec mon premier vrai groupe, appelé Intestinal Ulcer. On a joué le 2 juillet 1991 ! Le concert a pris place dans le gros auditorium de notre école et nous avions à faire l’ouverture. Il y avait également trois autres groupes, Crack Up, Crestfallen (qui joue du Metallica/ Anacruisis) et la tête d’affiche, Alice D. C’était super et il y avait un immense rideau fermé avant que l’on commence le concert. Il devait y avoir environ 500 personnes là-dedans ! Je pense que toutes les personnes que nous connaissions étaient dans le public, on ne peut pas dire que c’était un concert normal de heavy metal mais plus un genre évènement d’école.

Lorsque le rideau tomba et que nous avons commencé à jouer les premiers riffs de notre doom death, mon pancréas commença à trembler si fort que je pouvais le voir ! A partir de ce moment j’ai su que ça ne sera plus jamais pareil.. On peut dire que le premier concert s’est très bien passé, enfin je pense !

Comment as-tu appris à jouer de la guitare ?

J’ai appris à jouer de la guitare acoustique à l’école. Un professeur de physique donnait des leçons à des groupes. J’ai pu apprendre les accords basiques ainsi que les techniques de la guitare classique, en jouant des titres des Beatles et d’autres groupes. Cela a duré environ une année à ce que je m’en souvienne et j’étais alors en deuxième année d’école primaire. Après ça, j’ai reçu ma première guitare électrique et j’ai un livre appelé « Heavy Metal Guitar » écrit par Peter Bursch, un auteur allemand connu pour le grand nombre de méthodes qu’il a écrit. Avec ce livre j’ai pu apprendre les basiques du style hard rock et métal, comme en apprenant à jouer les power chords, palm mute, tapping, hammer-on/pull-off et la gamme de LA pentatonique.

J’ai également acheté une version simplifiée du songbook « Appetite for Destruction » mais il était vraiment nul.

La part la plus importante de mon éducation musicale fut la prochaine étape, lorsque mes parents me payèrent durant une année un cours de guitare par semaine avec l’un des meilleurs guitaristes de rock de notre région, Hansi Tietgen, guitariste qui nous a été recommandé dans un magasin de guitare de notre ville. J’avais alors 16 ans à l’époque.

Il m’a montré comment jouer les gammes, jouer des solos et jouer avec lui. On a joué principalement des morceaux et des parties de Van Halen, Gilbert (Racer X), Gambale, V. Moore, et quelques titres de Gary Moore, Extreme et Stones. Bref, il était génial !

Il jouait avec un Valley Arts Strats bleu sombre customisé et disait que Steve Lukather était le meilleur guitariste du monde, spécialement pour tout ce qui concernait la composition et les harmonies. Un jour je lui demandai combien de temps il me faudrait pour devenir un bon guitariste et il me répondit « probablement encore deux années ». Le problème fut que mes parents ne me payèrent les cours que durant une année car ils trouvaient les cours trop chers (mais ce n’était pas le cas à ce que je sais maintenant !). Cependant, j’étais déjà assez aguerri et expérimenté pour créer et jouer dans un groupe, ce qui était la chose la plus importante pour moi !

Quelle était ta première guitare ?

C’était une guitare pas chère et totalement détruite, une copie d’un Paul sunburst. Mon père me l’a achetée pour 20 Deutsche Mark à l’époque dans une boutique de deuxième main. Nous avons dû remplacer tout le matériel et la repeindre en noir et même là il était impossible de jouer quelque chose de vraiment beau sur cette guitare.

Ma première « vraie » guitare fut donc une Shadow Strat avec un Floyd Rose. Je l’ai reçu pour Noël et j’étais si heureux de l’avoir reçue ! Le Floyd Rose est un Schaller, fait à partir d’acier chromé pur, et il a encore l’air neuf !

Mon frère Franck a enregistré ses passages et morceaux quelques années plus tard avec cette guitare pour notre première sortie, Sylphlike.

Peux-tu partager des informations quant à la création de Night In Gales ?

Tobias Bruchmann et moi-même avons joué durant trois années dans un autre groupe de death doom mélodique auparavant. On sonnait un peu comme les anciens albums de Paradise Lost et Amorphis. Le groupe s’appelait Intestinal Ulcer et a existé de 1991 à l’automne de 1994. On voulait jouer plus rapidement et de manière plus technique et nous avons donc dû changer de line-up pour finalement commencer un groupe, Night In Gales, entre le mois de décembre 1994 et de mai 1995.

Pourquoi avez-vous choisi le nom « Night In Gales » pour le groupe ?

Nous avions déjà des morceaux composés mais nous avions besoin d’un bon nom. J’ai demandé à un gars dans le style gothique (qui est maintenant le chanteur d’un groupe de dark hard rock connu, Bloody Dead and Sexy) qui était alors dans mon école de nous donner un nom et il a donné tout de suite une version allemande « Nachtingallen ». Comme le nom était un peu trop « cheesy » et trop gothique je l’ai donc traduit en anglais et j’ai trouvé que ça le rendrait plus malveillant en séparant les mots. « Gale » est un autre mot pour désigner un orage, donc Night In Gales est quelque chose comme une nuit orageuse.

Comment composes-tu les titres ? As-tu une façon spéciale pour écrire les partitions pour chaque instrument ?

J’écris quelque chose comme 95% des titres de Night In Gales. Pour “Sylphlike“ et “Razor“ et les deux premiers albums, j’ai enregistré les riffs sur une cassette. J’ai tout d’abord enregistré les riffs et les simples mélodies puis j’ai joué une seconde guitare par-dessus. J’ai toujours le jeu de batterie dans ma tête, en fait quand je joue de la guitare je ne peux pas entendre que le guitariste ! Le jeu de batterie vient tout seul dans ma tête quand je joue de la guitare !

Par la suite l’enregistreur de cassette fut remplacé par Cubase SX durant les années 90. Depuis « Nailwork » j’écris chaque titre avec ce logiciel. Je programme toujours un jeu de batterie basique et enregistre spontanément la guitare par-dessus. J’essaie toujours de jouer quelque chose de différent avec la seconde guitare, qui devient bien souvent la guitare lead par la suite, juste après avoir joué la première guitare afin de voir si l’idée fonctionne ou non.

Je ne peux donc jamais dire si un riff est cool ou non avant que j’ajoute la seconde guitare par-dessus. Je fini quasiment un titre durant la journée où j’ai commencé à le créer et je n’aime pas refaire un titre ou essayer de l’arranger. En fait, je préfère abandonner un titre en cours et commencer avec une nouvelle idée.

Quel est ton matériel utilisé dans Night In Gales et dans Gloryful ?

Pour Night In Gales j’utilise une ESP LTD MH 400 FR, accordée en C, avec des cordes 12-54 D-Addrio, un micro AMG 81 et un ENGL Powerball 2 connecté à un cab 4*12 Peavey, celui pour le 5150.

Nous avions également utilisé une guitare Ibanez et Jackson combinée à la toute première édition du 5150 avant cela et nous étions heureux du résultat. J’ai également eu un Rocktron Intellifex en 1998 et utilisé une crybaby durant pas mal d’année.

Concernant Gloryful, j’utilise ma Schecter Black Jack V-FR blanche, qui possède des micros actifs Seymour Duncan, accordée en E, montée avec un jeu de corde 9-42 Dean Markley, le tout passant par mon ENGL Powerbal 2 et un système sans fil Samson.

Est-ce que tu pourrais partager des informations concernant le matériel utilisé pour chaque album ?

Towards The Twilight : Ibanez RG 520 limited Edition, une guitare Jackson, Soldano Tube Head, Sans Amp

Thunderbeast : Ibanez RG 520 limited Edition, 1ère version du Peavey EVH 5150, Dunlop Crybaby, SPL-19“

Nailwork : Ibanez RG limited Edition, 1ère version du. Peavey EVH 5150

Necrodynamic : Ibanez RG 520 limited Edition, 1ère version du Peavey EVH 5150

Five Scars : ESP LTD MH 400 FR, ENGL Powerball 2, Koch Studio Edition Combo.

Si tu devais choisir un ou deux mots pour décrire chaque album de Night In Gales, quels mots choisirais-tu pour les décrire un par un ?

Towards The Twilight : encore apprécié

Thunderbeast : plus accrocheur

Nailwork : technique, différent

Necrodynamic : mauvais virage

Five Scars : notre chef d’œuvre

Comment t’échauffes-tu avant une session de guitare ?

Je m’échauffe la plupart du temps avec une série d’alternative picking assez stupide comme 1234, 2345, 3456, etc. J’augmente également le rythme et change de corde à chaque note (E1A2D3G4, H2G3D4A5, A2D3G4H6, E3H4G5D6). Je fais aussi quelques fois quelques sweepings et joue quelques riffs et quelques riffs. En fait tout dépend du temps que j’ai pour jouer, parfois j’ai justement assez de temps pour boire une bière.

Quels seraient les conseils que tu pourrais donner à un nouveau guitariste ?

N’essaie jamais de sonner exactement comme quelqu’un d’autre, ne perds pas du temps à devenir un guitariste parfait à la manière d’un “guitar-hero” ! Crée un groupe aussi tôt que possible. Crée un second groupe si le premier craint. Essaie d’écrire des titres par toi-même, apprends comment programmer la batterie sur Cubase, Prologic, Pro Tool ou un programme similaire. Enregistre tes titres quand tu es amoureux d’une nouvelle fille. Ecoute tout ce que Thin Lizzy a enregistré, écoute les différents albums de Rainbow avec Dio, et écoute le en solo mais écoute également Iron Maiden. Evite la musique électronique. Ne mélange pas trop de styles différents sur un seul album. Tous les grands albums sonnent comme s’ils étaient faits d’un seul bloc. Ne consomme pas de la drogue lorsque tu composes.

Combien de temps t’exerces-tu par semaine ?

En ce moment, en raison de mes déplacements professionnels, je ne peux que jouer entre 0 et 10 minutes !

Quand nous répétons avec Gloryul nous jouons plus de 2h par semaine plus les différents shows durant le week-end. Mais je n’ai jamais fait d’exercices réguliers depuis 15 ans.

Comment a été accueilli « Five Scars » par le public ?

Il y a une bonne réponse de la part des fans et de la presse, les reviews ont été les meilleures que nous ayons reçues depuis l’époque de „Sylphlike“. En France le webzine Metal Observer a sélectionné notre album comme étant celui du mois ! Nous avons joué à quelques grands festivals en plein air en Allemagne et nous avons conquis de nouveaux fans. Le point le plus important pour moi était de montrer à nos vieux fans et amis que nous savons encore d’où est-ce que nous venons.

Tu es également actif dans Gloryful sur le dernier album « Ocean Blade ». Peux-tu nous faire partager des détails sur la création du groupe ?

Quelques années après que Deadsoil splitta, je rencontrai un gars appelé Johnny La Bomba. Sa femme connaissait ma copine et il habitait dans un appart la rue à côté. Johhny m’a dit un jour qu’il aimait notre album „Towards The Twilight“ sorti en 1997. Quelques semaines plus tard, et après plusieurs bières, il me dit alors de ne pas abandonner et de créer un autre groupe à côté de Night In Gales. J’ai entendu sa voix lorsque nous jouions à une session de Rockband sur Wii et j’ai alors su que ce gars avait ce qu’il me fallait. Il alla seul à un concert de Manowar et suite à cela nous avons  commencé à faire des tests de metal fun à jouer et le tout marchait plutôt pas mal. Mon frère Franck m’a toujours dit que le jour où nous rencontrions le bon chanteur, qu’à ce moment-là alors nous devrions faire du heavy metal car c’est la racine de notre style mélodique et c’est ce qui compte le plus dans nos vies.

La voix de Johnny est très unique, il a cette vibration spéciale des stations de radios de rock des années 80. Ecoute donc « Cradle of Heroes » et tu verras bien ce que je dis !

Et donc, que pouvons-nous en déduire, ton groupe principal est-il Night In Gales ou Gloryful ?

Je suis plus actif aujourd’hui dans mon nouveau groupe Gloryful, même si Night In Gales sera peut-être le groupe le plus important de ma carrière. Nous avons juste sorti notre second album et il y a bien plus à venir dans le futur.

Le dernier album de Night In Gales a été sorti en 2011. Est-ce qu’un prochain album est en préparation ? Si oui pour quand ?

La prochaine sortie sera une compilation de titres rares et de démos sur un album appelé « Ashes and Ends », qui sortira en US chez Divebomb Records durant la fin de l’année, peut-être en novembre. Il contiendra 23 titres incluant tous nos premiers enregistrements, de même que les versions covers, promo ainsi que les titres bonus des éditions Japonaises. Le livret contiendra également des notes ainsi que des images rares. A côté de cela nous composons de nouveaux titres. Ces derniers devraient être enregistrés par les soins de notre chanteur Christian Müller.

Quel a été le plus grand succès, en terme de vente, de Night in Gales ?

L’album demo « Sylphlike », sorti en 1995, a été notre plus grand succès, nous avions alors vendu autour de 7000 copies, ce qui est sensationnel pour un groupe de death metal indépendant n’ayant signé chez personne !

Plus tard, nous avons signé chez Nuclear Blast Records pour l’album « Towards The Twilight » ainsi que « Thunderbeast », ce qui permis alors de vendre beaucoup de copies de « Thunderbeast » en particulier, un peu plus que pour « Towards The Twilight ». Cependant, même si nous étions alors à l’époque bien placés côté vente cela ne suffisait tout de même pas pour Nuclear Blast.

J’ai une question qui va peut-être te fâcher mais allons ! As-tu des regrets ? Votre premier album, « Towards The Twilight » est sorti en 97 et a été mis en avant par Nuclear Blast. Pourquoi penses-tu que Night In Gales n’a pas été en mesure d’être sur le premier rang de la scène, à côté des groupes Suédois de l’époque ? C’est vraiment triste de voir que vous avez manqué de reconnaissance !

Je regrette pleinement les gros changements que nous avions faits à l’époque pour « Nailwork » et « Necrodynamic ». En revenant en arrière j’en avais assez d’être comparé tout le temps à des groupes comme In Flames, Dark Tranquility ou encore At The Gate. La presse allemande a traité nos albums comme n’étant pas aussi bons que ceux de la scène Suédoise, ce qui nous poussa alors à aller un peu en dehors de ce monde, un peu trop même. Nous avions alors perdu notre but de vue. Nous pensions à l’époque que nos fans nous suivraient et que tout le monde voulait que nous devenions plus originaux.

En parlant de « Towards The Twilight » et des groupes que tu as cités auparavant, comme At The Gate, In Flames, Dark Tranquility, ou même Ablaze My Sorrow, as-tu été inspirés par eux ?

Bien entendu que j’ai étudié ces groupes-là. Je me souviens avoir dit plusieurs fois que la vieille école de death devenait de plus en plus ennuyante et qu’elle devrait intégrer, d’une manière ou d’une autre, un peu d’Iron Maiden et de Lizzy Twin dans leurs leads. A côté de cela, les plus gros groupes qui ont survenu ont été principalement Euchariste, Xysma, Dissection, My Dying Bride, Anathema ainsi que Therion avec ses premiers albums. Nous étions à l’époque très impliqués dans le secteur de la vente du metal underground et oui j’ai également vendu des cassettes cd de groupes comme Ablaze My Sorrow, Abyssos, A Canarous Quintet et plein d’autres encore !

Mais je suis sûr que nous avions un son un peu différent de la scène Suédoise et c’est parce que nous sommes chanceux de ne pas être de Suède !

Est-ce que Night In Gales sera en tournée cette année ?

Non, nous nous concentrons sur l’écriture de nos titres en priorité. Il peut facilement se passer deux années avant que nous retournions sur scène avec notre nouvel album.

Avec quel groupe souhaiterais-tu partager une tournée ?

Iron Maiden, ils sont simplement la plus grande influence et le groupe le plus important de ma vie.

Que penses-tu de la scène du death melo en Allemagne et le statut de ce style au niveau mondial ? Vois-tu des améliorations depuis les années 90 ?

Je ne vois pas réellement de bonnes améliorations dans ce style. Les meilleures années pour les sorties de death mélo ont été entre 1991 et 1997. Après cela il n’y a pas eu d’importants albums qui ont apporté quelque chose de nouveau ou de cool. Je n’aime pas vraiment ce qu’il s’est passé en Finlande, comme avec Children of Bodom qui clonait les claviers, ou ce qui s’est passé avec la scène Metalcore. Ces gars-là ont juste simplifié les riffs At The Gate sans aucune âme.

Tu sais, au début, la scène de death mélo n’était pas destinée à être une sorte de death plus doux pour les filles..

Le meilleur groupe allemand, faisant vraiment du death melo est à ce jour Harasai, venant de la ville de Essen. Ils ont enregistré deux superbes albums, écoutes-les donc !

Merci pour tes réponses à ces nombreuses questions Jens ! Je te laisse le mot de la fin !

Je veux donner mes remerciements et mes salutations à tous les fans de Night In Gales, spécialement en France. Nous avions joué à Paris avec Dismember en 1998, à Lyon et Toulouse avec Gorgoroth et Old Man’s Child en 1999. Peut-être que quelques uns d’entre vous était présents à l’un de ces concerts ! Ça serait un plaisir d’y retourner un jour !

Restez informés au sujet de Night In Gales avec notre page Facebook et regardez nos produits sur la partie merchandising de notre bandcamp. Il y a quelques exemplaires de vieilles choses encore en stock ! Si vous aimez le vieux heavy / power metal visitez donc www.gloryful.net.

Salutations et gardez le metal en vie en venant aux petits concerts et en achetant des albums et des t-shirts de groupe !

Je vous recommande également lire la très bonne review du premier album de Night In Gales chroniqué par Forlorn sur VS-Webzine.

NIGHT IN GALES

Site Web : http://www.night-in-gales.com/
Page Facebook : https://www.facebook.com/nightingalesmusic?fref=ts
Merchandising : http://nightingalesmerch.bandcamp.com/merch

GLORYFUL

Site Web : http://www.gloryful.net/
Page Facebook : https://www.facebook.com/gloryful
Merchandising : http://gloryful.bandcamp.com/merch

 

Silenius

Gérant du site.

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