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WILDERNESSKING : Interview de Dylan

Dylan de WILDERNESSKING, nous parle de l’origine de ce groupe, de son dernier album mais également de ses inspirations.

Salut Dylan. Tout d’abord, merci pour toutes ces réponses à notre interview. Peux-tu présenter  WILDERNESSKING à ceux qui ne connaissent pas encore le groupe ?

Bien sûr ! WILDERNESSKING est un groupe de metal, du Cap, en Afrique du Sud.

WILDERNESSKING , quelle est la signification de ce nom ?

Il signifie plusieurs choses pour nous. Et cela change légèrement au cours de notre carrière. Ces changements sont spécifiques à nos vies, mais, au final, c’est un nom expressif. Un nom qui ne nous limite pas (musicalement ou conceptuellement). En ce moment, nous apprécions pouvoir explorer les différents thèmes associés avec le nom.

Comment as-tu commencé à jouer ?

Chacun d’entre nous a connu un moment qui nous a fait basculer complètement dans l’univers musical, en tant qu’exutoire créatif ou instrument de réflexion. Notre amour pour cette forme d’art a grandi au fil des années, et nous continuons à écouter de la musique sous toutes ses différentes formes. Jouer dans le groupe a réaffirmé notre amour pour l’expression musicale, surtout pour composer et créer un album. Sans aucun doute, la musique prend une grande part dans nos vies (de la mise en évidence d’un passage de notre jeunesse), et tous les souvenirs associés, à l’enthousiasme d’entendre une nouvelle chanson et savoir qu’elle restera avec toi pour longtemps.

Quand et pourquoi as-tu commencé à jour de la guitare ? Quelles ont été tes influences ?

Je ne me souviens pas exactement quand j’ai commencé. Je devais avoir 9 ou 10 ans. J’ai des souvenirs spéciaux, et je me souviens pourquoi j’ai choisi de jouer. C’est difficile à expliquer, mais je me souviens que la guitare était l’instrument qui m’intéressait le plus.
A la maison, il y avait toujours de la musique. Naturellement, puisque j’étais jeune, j’étais curieux de tout. La musique ne faisait pas exception, et j’essayais de jouer le mieux possible, et d’écouter tous les disques que je pouvais trouver.
Je me souviens aussi avoir commencé le piano en entrant à l’école. Mais la musique plus heavy me captivait, et mon intérêt pour le piano diminuât. Je préférais les gros accords, les leads rapides et essayer de faire chanter ma guitare (peut-être les mêmes raisons pour lesquelles la plupart des gens choisissent la guitare). Jouer de la guitare est resté avec moi depuis longtemps. C’est une extension de moi-même, et pourtant je la redécouvre tout le temps.

Jouer dans WILDERNESSKING continue à me pousser vers la guitare. J’ai toujours envie de découvrir et d’explorer de nouveaux sons, de nouveaux tons et aussi d’apprendre des différents styles que je vois – que ce soit un guitariste local ou une vidéo sur Internet.

Peu de groupes viennent d’Afrique du Sud. Comment était la scène métal, au Cap, et en Afrique du Sud, quand vous avez décidé de créer votre groupe ?

Je crois que nous avons une scène locale forte avec des fans loyaux.
J’admets que je ne peux pas aller à autant de concerts qu’avant, mais à chaque fois que je peux, je me rappelle à quel point j’aime ça. Je suis toujours fasciné par les supers nouveaux groupes (métal ou autre) et nous sommes inspirés par la façon de travailler d’un groupe ou comment ils créent leur son. Je suppose que nous avons tous adoré la scène locale à un moment ou un autre, et nous nous y sommes impliqués, en jouant dans d’autres groupes avant WILDERNESSKING. Je trouve qu’actuellement, les nouveaux groupes me surprennent en apportant quelque chose d’original et de rafraîchissant. Et j’espère que nous avons aussi fait cela, plus jeunes. Cela renforce ma conviction dans la scène locale.

Quelles sont les tendances de la scène métal sud-africaine ? Est-ce difficile de fonder un groupe et de faire son trou ?

La communauté métal est vraiment cool, ici. On trouve tous les styles, avec un ou deux groupes principaux dans chaque genre. Il est facile de trouver un concert. Et comme la scène est assez petite, comparée à certaines villes européennes ou américaines, il y a beaucoup de fans qui écoutent de tout, c’est assez extraordinaire. Notre pays abrite beaucoup de cultures différentes, et cela implique que le métal n’est écouté que par un petit groupe de personnes.
Les tendances varient fortement localement, mais en général, il y a quelque chose pour tous.

Quel était votre but, en 2012, en fondant WILDERNESSKING ? Souhaitiez-vous créer une nouvelle scène ? Ou repousser les limites ?

Nous n’avons jamais eu l’intention de créer une nouvelle scène. Mais dans un super feeling quand un son non conventionnel est bien accueilli. Ça n’a jamais été notre but, cependant. Nous voulions simplement faire mieux, repousser notre propre limite, redéfinir ce qui était possible pour nous. Nous avions besoin d’une approche musicale originale et honnête, pas seulement car nous avions une idée particulière de son que nous voulions, mais également nous espérions que les personnes qui écouteraient notre musique apprécieraient ce son. Nous avons tous les quatre travaillé ensemble sur l’écriture de l’album et ce fut une très très bonne expérience, surtout lorsque que nous sentons tous que la chanson que nous sommes entrain d’écrire va aller dans une très bonne direction commune. C’est dans ces comment là, quand nous nous poussons chacun, que nous pouvons espérer créer un titre avec un son qui nous est propre.

Le premier album de WILDERNESSKING, “The writing of Gods in the sand” est sorti en 2012, limité à 150 copies. Comment a-t-il été enregistré ?

Nous avons tourné autour de nos titres depuis pas mal de temps, faisant des ajustements en terme de structure et cela changeait au fur au mesure que nous les répétions. C’était encore lors des débuts du groupe, et nous étions totalement ouvert à la composition, avec des accords et des rythmes utilisés afin de créer une atmosphère. C’était également un temps où nous nous rapprochions les uns des autres en tant que musiciens. Ce fut très bénéfique étant donné que les titres nous permettaient d’apprendre à jouer tous ensemble. Nous avons découvert beaucoup de similarités dans ce que nous souhaitions comme approche musicale et comme son pour cet album.

A partir de ce moment les idées ont continué de venir et tout ce qui nous restait étaient d’enregistrer le tout. Après que quelques titres furent modifiés, nous nous sommes donc rendus au studio, à Altantic Ocean, ici à Cape Town. Nous nous sommes donc rendu en studio chaque jour durant quatre semaines. Nous avions travaillé sur les titres, un par un, et enregistré nos parties respectives lorsque nous sentions que nous étions prêts.

Nous avons commencé par l’enregistrement de la batterie, et utilisé des copies de nos enregistrements démo afin de nous aider dans nos ajustements. La plupart des lead qui sont sur l’album n’ont été écrits qu’une fois que l’enregistrement avait commencé. Je sentais que j’ai pu grandir de ces sessions d’enregistrements en studio.

Depuis cet album, le groupe a été très actif, puisque vous avez sorti un EP en 2012 et un autre en 2014. Des splits ont suivi, en 2014 et 2015. Avez-vous utilisé du “vieux matériel” pour ces disques ? Ou s’agit-il exclusivement de nouvelles compos ?

Les chansons sont propres à chaque disque. Après notre premier album, nous étions conscients d’écrire sur un thème particulier, de vouloir atteindre le but que le groupe s’était fixé.
Nous donnions pas mal de concerts à cette époque. Cela nous a permis d’expérimenter de nouveaux titres. C’était une période très productive, qui nous a aidé à explorer notre musique. Après un certain temps, nous avons eu envie de composer un second album.
C’est en partie pour cela que nous apprécions nos LP. Ils consacrent tout ce qui les a précédés.

Parlons du présent. Il y a quelques semaines, votre deuxième album est sorti sous le titre de  Mystical Future. Vous travaillez maintenant avec le label français “Les Acteurs de l’Ombre”. Comment cela s’est fait ?

Ils nous ont contactés en 2013. Nous voulions tenir notre promesse de travailler avec un collectif qui prend notre musique autant au sérieux que nous. Nous avions à ce moment quelques engagements, mais finalement, nous avons pu travailler ensemble, pour la plus grande joie des deux parties impliquées. Nous sommes toujours excités à l’idée de travailler avec de nouvelles personnes, et nous continuerons à le faire au cours de notre carrière.

La première approche de ‘Mystical Future’ est la peinture sur la pochette (version CD), qui semble représenter une forme humaine. Que signifie cette oeuvre ? Qui l’a créée ?

Angelica Luthi s’est occupée de la pochette. Nous voulions quelque chose d’un peu plus abstrait. Nous pensons que cela convient très bien au nom et au ressenti de l’album. C’est une image d’un humain/fantôme qui part, qui se désintègre.

Le vinyl sorti par “Sick Man Getting Records” est très différent puisque la pochette est un paysage coloré. Pourquoi avoir proposé une version différente pour le vinyl ?

La pochette du vinyl est en fait notre première idée. Je devrais plutôt dire que nous l’avons finalisée avant de nous décider pour celle du CD. Nous essayons de travailler avec différents artistes pour chaque parution, ainsi que pour chaque format. La pochette du vinyl est une photo d’une dune sur la plage de Noordhoek, à côté du Cap. Elle a été prise par Eckardt Kasselman un soir après que nous ayons terminé un photo shoot promotionnel sur cette même plage.

Après avoir vu la photo, nous nous sommes dit que cela irait très bien pour l’album puisque c’était un moment très spécial pour nous. Nous voulions une photo d’un repère ou d’endroit particulier au premier plan. Et nous voulions qu’il soit familier à certains et complètement inconnu à d’autres, et, si possible, captivant pour chacun.

Si on jette un oeil aux paroles, on remarque que le concept du rêve revient souvent. Quel thème vouliez-vous partager avec nous ? Et comment y êtes-vous arrivés, quelle a été votre inspiration ?

Nous savions quel thème aborder dès le début du projet, mais sans en connaître les détails. Le concept de l’album a progressé assez facilement et organiquement dès que nous avons commencé à nous concentrer sur chaque chanson et leur rôle dans notre plan. A certains moments, Keenan a partagé avec nous des idées de paroles sur lesquelles il travaillait, et parfois nous nous sommes plutôt concentrés sur les instruments. Lorsque qu’une approche convenait plus à une chanson qu’à une autre, nous l’utilisions.

Nous faisions de notre mieux pour que tout progresse le plus régulièrement possible, du début à la fin, pour raconter une histoire. Cette histoire est personnelle pour chacun d’entre nous, mais elle se rapproche d’un rêve et a une qualité mystique (ce que nous n’avions exploré par le passé). Elle évoque aussi des situations émotionnelles qui peuvent arriver dans la vie, ainsi que les illusions ou l’incertitude qui vont avec. Peu importe que ce soit une réalisation joyeuse ou douloureuse, ce sentiment de regarder devant soi peut être un aspect du futur mythique du chacun.

Une phrase intéressante apparait dans le digibook, “Bass and guitars recorded in Jess’s bedroom” (basse et guitare enregistrées dans la chambre de Jess). Peux-tu détailler votre méthode de composition et comment l’album a été enregistré ? Pourquoi la chambre ?

Nous essayons de changer de lieu d’enregistrement, et de travailler avec des personnes différentes. Nous avons travaillé avec différents studios auparavant, et enregistré ailleurs, avant Mystical Futur. Nous avons joué ces chansons (ainsi que nos parties individuelles) régulièrement pendant 2 ans, donc nous ne pensions pas devoir passer longtemps en studio.

Il suffisait juste que le produit final soit ré-amplifié, mixé et masterisé à l’étranger. Pour ces raisons, nous avons choisi un endroit confortable pour travailler, et le studio de Jesse est un super endroit pour poser sa gratte ou sa basse.

Pour que cet album soit aussi expressif que possible, nous avons vraiment essayé de faire des “prises” plus longues et de capturer certains moments précis, plutôt que “construire” l’album de manière linéaire. Nous avions déjà expérimenté avec ces chansons lors de répétitions, et nous voulions capturer toutes les nuances et variations dans un environnement familier et confortable. Nous avons donc choisi la maison de Jesse. Les pistes ont ensuite été envoyées à Jack Shirley au The Atomic Garden Recording Studio pour les dernières étapes de la production.

Quel matériel (guitare, ampli, pédales, etc) avez-vous utilisé pour l’album ?

Nous avons continué avec nos guitares habituelles. J’ai joué avec une vieille Ibanez PG, qui est, pour moi, la guitare la plus agréable à jouer. Jesse s’est servi de sa Fender Telecaster pour la majorité des rythmes et nous avons tous les deux utilisé d’autres guitares pour les leads.
Nous avons découvert un très bon piezo d’une guitare semi-acoustique, et nous nous en sommes servi pour les parties claires de ‘To Transcend’.
Au final, le matériel a peu changé. Cela allait très bien avec notre but de produire un album “coulant”, pour lequel nous pouvions reproduire les sons découverts en répétition.

Pour la ré-amplification, Jack s’est servi d’un Top Hat Emplexador 5, d’un Orange Rockerverb 100 avec Marshall 4×12 v30s pour les guitares et d’un 70s Silverface Bassman 100 avec Ampeg 8×10 pour la basse.

L’album est, de mon point de vue, très émotionnel et mélodique pour un album de black metal. Les refrains sont entraînants, les guitares et la batterie jouent des contres temps et une sorte d’atmosphère nostalgique est aussi présente, surtout la deuxième piste, “I will go to your tomb”.  Que souhaitiez-vous réaliser avec cet album ?

Nous voulions explorer le contenu musical autant que possible, tout en faisant en sorte que l’album reste “cohérent”. Même si ‘The Writing of Gods in the Sand’ restera un album spécial pour nous, il y a des choses à améliorer. Si ‘The Writing’ partait dans plusieurs directions, nous voulions que ‘Mystical Future‘ soit plus consolidé, aussi bien au niveau du son que de la musique.
Nous avons tendance à beaucoup parler de la musique, que ce soit un riff ou le titre d’une chanson. Pour nous, chaque détail a la même importance dans le cadre général. Durant tout le processus, nous vivions tous des moments intéressants dans nos vies personnelles, et je trouve que les obstacles que nous avons surmontés se retrouvent merveilleusement dans la musique. A un certain point, nous avions peut-être voulu un son et des rythmes chaotiques et parfois des mélodies délicates dans les moments calmes.
Je pense que ces moments quelque peu “émotionnels” sont très efficaces, et nous aimons les écrire. Les chansons ne seraient pas complètes sans eux. Ils permettent aussi à WILDERNESSKING de ne pas être catalogué dans certains genres.

L’album a quelques “sons clairs” et le titre “To Transcend” est très beau et paisible. Est-ce une direction vers laquelle vous vous orientez pour le futur ?

Pas forcément. Avec ‘To Transcend’, nous avions l’intention d’écrire une chanson pour la placer au milieu de l’album, un pont entre les deux moitiés. Nous voulions aussi explorer encore plus les dynamiques de notre son, et avons choisi pour cela une chanson plus calme.
Au début, nous avions prévu un interlude instrumental (après nous être décidés pour les accords de l’intro), mais nous avons finalement décidé de développer certaines idées, et d’ajouter du chant distant pour obtenir un effet hanté, fantomatique. Dans un certains sens, nous aimerions incorporer ce que nous avons appris de cette chanson dans de futures compos, mais cela ne veut pas dire que notre son sera plus soft.

Mystical Future” a seulement 5 pistes, pour 42 minutes. Et le temps passe vite en écoutant l’album. Etait-ce un choix de n’avoir que 5 pistes sur l’album ? Ou avez-vous gardé quelques chansons qui pourraient être incluses sur un autre album ?

Nous avons joué avec quelques idées au début. Nous les avons doucement mises ensemble, ce qui a donné 3 chansons complètes, avec quelques parties supplémentaires à inclure ailleurs.
Nous savions que nous voulions une chanson plus soft au milieu de l’album. Nous avions beaucoup de riffs et de sections pour la dernière chanson, mais après quelques sessions de répet’ intenses, nous avons décidé de recommencer cette chanson, et tout s’est mis en place, finalement.

A ce moment-là, nous avions 5 chansons qui nous semblaient former un tout. Nous avons tout de suite pensé qu’il n’y avait rien à ajouter. Aucune chanson n’a été abandonnée, et aucune enregistrée et pas sortie.
Nous sommes heureux que cela se soit passé ainsi, car nous voulions avoir une vision d’ensemble uniquement par ses chansons. C’était un chapitre parfait pour nous.

Même si l’album n’est sorti qu’il y a quelques semaines, peut-on savoir comment le public et la presse l’ont reçu ?

Très bien, jusqu’à présent. Nous avons eu la possibilité de faire quelques formidables interviews, ainsi qu’être présentés sur des sites web, magazines ou émissions radio, ce que nous n’aurions jamais imaginé.
Globalement, nous apprécions correspondre avec tout ceux qui nous ont contacté, qui ont fait la critique ou commenté notre album. Nous espérons que ces gens continueront à partager ces moments avec nous, car nous apprécions ce soutien, que ce soit d’un fan de longue date ou de quelqu’un qui vient de découvrir le groupe.

Quels sont vos plans pour le reste de l’année ? Partez-vous en tournée ? Travaillez-vous sur de nouvelles chansons ?

Nous travaillons beaucoup sur de nouveaux morceaux. Le temps nous dira ce à quoi ils serviront.
Nous avons des plans pour continuer de travailler sur un 3ème album, maintenant que nous avons de nouveau le temps, mais peut-être que nous écrirons un EP pendant que nous rassemblons des idées.
Nous allons aussi partir en tournée en Europe prochainement. Après avoir enregistré tous ces albums, nous avons vraiment envie de jouer à l’étranger et d’en profiter.

La scène black metal a changé au fil des ans. Des labels comme “Les Acteurs de l’Ombre” essaient de proposer de nouveaux concepts et la scène a évolué vers le “post black ”. Quels groupes vous inspirent ?

Nous sommes tous les 4 très similaires sur certains points, et très différents sur d’autres.
Il est donc difficile de définir quelles sont nos influences, ou les groupes qui nous inspirent, sans exclure une majorité, ou le contexte. Ce que nous pouvons dire, c’est que nous sommes émus par des artistes qui approchent la musique de manière unique, ce qui donne une musique originale. Nous sommes aussi inspirés par d’autres formes d’art, et d’évènements banals (ou leur absence), par des expériences en dehors de la musique.

Mais avec la musique, et en particulier avec le metal, nous savons à quel point il est facile de stagner.
Nous nous inspirons donc aussi de groupes qui se diversifient. Le mouvement “post” est peut-être une expression d’un sentiment similaire. Peut-être que le black métal était trop lié à une zone géographique précise et à un mouvement culturel pour que tout le monde puisse s’en sentir proche. Il influence bien sûr la musique et les pensées, mais la scène grandit et se diversifie. L’écoute est donc intéressante, mais cela rend la classification difficile.

Et voilà, c’est fini ! Merci pour l’interview. Un dernier mot pour nos lecteurs ?

Merci pour ces questions en profondeur. C’était un plaisir de répondre.
Nous apprécions votre soutien, et aimerions remercier tout ceux qui aiment WILDERNESSKING . Nous avons hâte de partager notre musique, et de partir en tournée pour rencontrer nos fans dans le monde !

WILDERNESSKING

Site internet: http://www.wildernessking.com/
Facebook : https://www.facebook.com/Wildernessking/?fref=ts

Photos : Matthew Schnetler

Les Acteurs de l’Ombre

Site internet : http://www.lesacteursdelombre.net/
Page Facebook : https://www.facebook.com/LADLOproductions?ref=ts&fref=ts
Merchandising : http://www.lesacteursdelombre.net/productions/v2/?post_type=product

Silenius

Gérant du site.

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